4 mai 2009
Chapitre 1: La naissance.
Il faisait noir, je ne voyais rien comme aveuglé, je ne savais pas où je me trouvais. La seule chose dont j'étais sûre c'est que j'étais en train de mourir. Je brûlais vive et chaque parties de mon corps semblaient être lécher par d'innombrables flammes. Je voulais que la douleur prenne fin, pouvoir me reposer et ne plus entendre ces cri de démences : les miens ? Qu'avais-je fait pour mériter un tel sort ? Je ne me souvenais pas, mon esprit était comme embrumé. Je ne me rappelais de rien, seule cette phrase tournait et retournait dans ma tête : "Ne m'en veux pas ma douce Seléné." Seléné… ce prénom ne m'était pas inconnu, était-ce le mien?
La chaleur des flammes atteignirent mon cœur : l’explosion était proche je le sentais. Mon cœur cessa de vivre dans un dernier battement faisant taire la douleur, je pu ouvrir les yeux pour découvrir mon paradis bien mérité. Ce n'était pas le paradis qui m'accueillit. Je me trouvais dans une toute petite cabane au milieu des bois, mes yeux pouvaient distinguer la moindre fibre de chaque planche, je percevais chaque essence des arbres qui se tenaient à des dizaines de kilomètres, chaque odeur. Le bruit de la forêt en devenait assourdissant. Je ne comprenais pas les changements qui c'étaient opérés en moi. Ma gorge était brûlée par une soif qu'aucune des boissons qui m'était connue n'aurais pu étancher, il me fallait autre chose.
Je décidais d'explorer les environs afin de trouver une réponse à l'enfer où je me trouvais. A peine sortit de cette pauvre demeure que je sentis une odeur enivrante et subtile, je pouvais l’associer au vin j’avais eu le plaisir de savouré qu’une fois. C'est alors que je l'aperçu tel un dieu grec, Evan. Dans un flash une partie de ma mémoire m’était revenue. Encore plus beau que dans mes souvenirs. Ses cheveux étaient d'un noir corbeau illuminé par de multitude de reflets, son nez droit hanterait les rêves de tout sculpteur et sa bouche charnue qui aurait fait se pâmer les plus belles femmes... Mais c'était un autre détail qui me choquât : je pu distinguer ses intenses yeux rubis qui me fixait. Ce regard me fit frissonner d'effrois et de désir !
La chaleur des flammes atteignirent mon cœur : l’explosion était proche je le sentais. Mon cœur cessa de vivre dans un dernier battement faisant taire la douleur, je pu ouvrir les yeux pour découvrir mon paradis bien mérité. Ce n'était pas le paradis qui m'accueillit. Je me trouvais dans une toute petite cabane au milieu des bois, mes yeux pouvaient distinguer la moindre fibre de chaque planche, je percevais chaque essence des arbres qui se tenaient à des dizaines de kilomètres, chaque odeur. Le bruit de la forêt en devenait assourdissant. Je ne comprenais pas les changements qui c'étaient opérés en moi. Ma gorge était brûlée par une soif qu'aucune des boissons qui m'était connue n'aurais pu étancher, il me fallait autre chose.
Je décidais d'explorer les environs afin de trouver une réponse à l'enfer où je me trouvais. A peine sortit de cette pauvre demeure que je sentis une odeur enivrante et subtile, je pouvais l’associer au vin j’avais eu le plaisir de savouré qu’une fois. C'est alors que je l'aperçu tel un dieu grec, Evan. Dans un flash une partie de ma mémoire m’était revenue. Encore plus beau que dans mes souvenirs. Ses cheveux étaient d'un noir corbeau illuminé par de multitude de reflets, son nez droit hanterait les rêves de tout sculpteur et sa bouche charnue qui aurait fait se pâmer les plus belles femmes... Mais c'était un autre détail qui me choquât : je pu distinguer ses intenses yeux rubis qui me fixait. Ce regard me fit frissonner d'effrois et de désir !
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