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Désir de vampire

Désir de vampire
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23 mars 2011

Remerciement

MERCI à tous mes lecteurs j’espère que cette histoire vous a plu n’hésiter pas à me donner votre avis sur la fin de cette fiction.

Encore merci et qui sais peu être a bientôt.

 

Sita

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22 mars 2011

Epilogue.

Epilogue.

POV Demon  au même moment.

Séléné et Mélissandre étaient parties en balade. J’étais heureux pour mon amie qui semblait avoir enfin trouvé la personne qui lui était destinée. Mélissandre était vraiment belle et j’avoue avoir été déçu et vexé quand elle s’était refusée à mes charmes car c’était la première fois preuve qu’elle était spéciale. Mais heureusement pour moi je savais reconnaitre mes limites et qui sait peut être que de rester parmi nous lui fera changer ses aprioris. Dans le fond, je l’espérais.

A côté de moi, Evan s’agitait comme en proie à de très fortes émotions. D’un seul coup, il partit en flèche pistant une odeur qui s’avérait être celle de Seléné comprenant que quelque chose d’anormal se produisant. Tout le clan partit à sa poursuite. Arrivés à destination nous furent pétrifiés en voyant la scène qui se déroulait devant nous. Mes yeux n’arrivaient pas enregistrer je ne comprenais pas ou plutôt je ne voulais pas comprendre cette vision à la fois magnifique et cauchemardesque. Les corps de Mélissandre et de Seléné  fusionnaient littéralement l’amour qu’elles projetaient était incroyable on aurait dit qu’elle rayonnait ; C’était également la scène la plus chaude auquel j’avais eu l’occasion d’assister en parlant de chaleur c’était là que cela se corsait, Seléné et sa compagne étaient en train de bruler vives et je ne pouvais rien faire trop choqué. Je réussis tout de même à tourner la tête vers Evan son frère, son jumeau, son amant il devait souffrir de mille feu. A mon étonnement non il souriait du même sourire que sa sœur. Les secondes paraissaient des heures quand tout fut finit que là où il y a quelques minutes encore se tenait les deux amantes ne restait qu’un tas de cendres, je ressentis un grand vide bien vite remplacé par une image : celle de Seléné lorsqu’elle dansait, accompagné d’une grande force. Evan prononça des mots qui confirmèrent mon ressentit :

- Elle est heureuse je sens encore sa présence avec nous.

Mon téléphone sonna s’était ma fille :

-          Papa, …. Seléné… arriva-t-elle à articuler

Grâce à ces seuls mots je compris que malgré la distance ma merveille avait, elle aussi, ressentit ce qui arrivait.

-          C’est fini, je crois que c’était sa destinée mais  nous avons la force de continuer pour elle.

J’entendis quelques sanglots étouffer puis la communication coupa. Un oiseau s’était posé sur le tas cendres et il chantait. Je savais que c’était un signe d’espoir c’était une fin mais pas la fin.

A des milliers de kilomètres de là.

-          Madame, c’est une fille.

-          Ma fille, ma petite Mélisse bienvenue parmi nous ma beauté.

-          Poussez Madame, poussez, ça y est presque, oui c’est bon je vois la tête, encore un dernier effort. Vous venez d’avoir une petite fille.

-          Une fille vous êtes sûr.

-          Certain ! Comment allez- vous nommer cette demoiselle ?

La mère qui s’attendait à garçon fut pris d’une inspiration soudaine.

-          Selena.

Quelques années plus tard.

-          Selena vient ici.

-          Quoi maman ?

-          J’ai une bonne nouvelle à t’annoncer tu vas avoir un petit frère ou une petite sœur.

La petite fille posa une main assurée sur le ventre de sa mère et lui dit plongeant les yeux dans celui de l’adulte avec ce regard que sa mère connaissait bien, ce regard hypnotisant qui faisait parfois peur à la femme tant il était difficile de sans défaire ;

-          Je vais avoir une petite sœur et elle s’appelle Anna

 

Fin

8 mars 2011

Chapitre 52 : Entière à Jamais.

Chapitre 52 : Entière à Jamais.

POV : Selené

Depuis le départ de Nelly et Willy je m’étais rapproché de ma belle Mélissandre. Nous passions de plus en plus de temps ensemble, chassant, nous promenant ou tout simplement en nous observant. Quand j’étais en sa compagnie, je me sentais tout simplement bien, totalement moi-même j’agissais spontanément sans vraiment réfléchir un peu comme avec Evan en encore mieux. Je sentais que mon attirance était réciproque mais quelque chose la boquait, qu’elle n’osait pas trop s’approcher vraiment de moi c’est pourquoi je n’avais pas encore fait le premier pas. Intérieurement, pourtant, l’envie ne manquait pas. J’avais envie de la prendre dans mes bras de la faire mienne pour toujours et de la protéger. Moi, Selené, j’en devenais presque romantique.

Un jour où nous étions toutes les deux dans les bois près de l’endroit où nous nous étions rencontrées. Je me rendis compte que me retenir devenait de plus en plus difficile alors qu’elle était là, si belle, devant moi si proche et pourtant si  inaccessible. Je ne pus me tenir je tendis ma main pour prendre la sienne. Une chaleur m’envahie à l’ endroit où ma peau touchait la sienne.

-          Non ne me touche pas rappel toi ce que j’ai dit j’ai dit : je suis maudite je brûle ce que je touche. Me dit-elle.

-          Je n’ai pas peur, tu n’es pas maudite, je me sens bien avec toi comme je ne l’ai jamais été le feu et moi sommes de vieux ami. Laisse-moi t’aimer.

-          Si je ne peux te laisser faire !

Maintenant que je l’avais touché, que j’avais sentis sa peau contre la mienne je ne pouvais pas m’arrêter  malgré la chaleur qui m’envahissait je me sentais bien ce n’était pas douloureux comme les autres fois au contraire. Je sentais son envie de continuer de ne faire qu’un avec moi et toute la force qu’il lui fallait pour me repousser. Je pris alors une décision une terrible décision. J’étais égoïste je le savais mais je ne pouvais faire autrement. Je me servis de mon don :

-          Laisse-toi aller ne résiste plus, Je le veux autant que toi, n’ai pas peur.

Elle n’eut plus le choix et elle se détendit en cédant à ses instincts ; ses lèvres se ruèrent sur les miennes. J’étais au paradis. L’amour que nous partagions m’envahie par vagues, jamais je n’avais ressenti quelque chose d’aussi intense. Mon cœur, figé dans ma poitrine, se remit à battre. Je sentais les flammes lécher mon corps mais je m’en fichais. Mes yeux étaient rivés sur celui de ma belle. Son sourire était éclatant et je voulais la dévorer toute entière. Ne faire qu’un avec cette lionne, aux cheveux flamboyants, qui m’apportait tant de bonheur. Son seul touché m’électrisait,  j’en devenais euphorique et nos vêtements avait déjà disparus. J’avais allongé mon amour dans l’herbe fraîche, et nous ne faisions plus qu’un. J’agissais par instinct connaissant les moindres détails de ce corps de marbre comme s’il s’agissait du mien alors que je ne l’avais touché que quelques minutes plus tôt. Nous caresses devenant de plus en plus entreprenantes, nos souffle se mélangeaient ainsi que nos râles et je ne pouvais plus distinguer ma voix de la sienne, ses murmures des miens tout n’était qu’extase et amour. J’étais enfin chez moi. Le feu me parcourait toujours mais je l’accueillais avec joie il faisait partit de notre être. Mon cœur battait de plus en plus vite, enfin, je n’étais plus sûre que c’était le mien, ma seule certitude c’est que je voulais goûter ma douce, lui donner encore et encore. Ma moitié eu la même idée et c’est ensemble que nous partîmes pour le paradis. Elle avait le gout de la luxure à l’état pur, moi qui pensait que rien ne pouvait surpasser le gout du sang je m’étais largement tromper. Nos corps se contractèrent l’un contre l’autre l’orque nous atteignirent le Nirvana l’intensité de flamme était à son apothéose je savais que c’était ma fin mais je n’avais pas peur jamais je ne m’étais sentit aussi bien. Quand tout a coup je me rendit compte que je n’étais pas la seule à bruler j’avais entrainer mon amour dans sa chute. Je pris peur qu’elle quelle m’en veuille mais lorsque que nos regard se rencontrèrent je sus qu’ils n’en étaient rien.  Elle me murmura  dans son dernier souffle :

-          Merci, je t’aime.

-          Moi aussi, à jamais.

Puis tout devint noir et je me sentais comme flotter  au sol, un tas de cendre nous avais remplacé. Je ne pus dire comment mais je savais qu’Evan était là. Alors grâce à un ultime effort  sortit de nulle part pour eux pour ma famille, je projetais ma force. Il s’en sortirait sans moi je n’étais pas inquiète.

6 mars 2011

Chapitre 51 : La maudite et l'explosion de sentiments.

Chapitre 51 : La maudite et l'explosion de sentiments.

POV : Nelly

Nous étions revenus chez nous, en France, où la famille de Willy nous avait rejointe. J’étais heureuse qu’ils soient tous là car depuis ma rencontre avec Mélissandre cette impression de déjà-vu ne me quittait pas. Un visage se juxtaposait à celui de la vampiresse, celui de l’un des oncles de mon bien-aimé ; et je n’étais pas la seule puisque Willy avait eu la même impression : ses cheveux son regard, non nous ne pouvions pas nous tromper. Sachant que nous désirions une conversation avec lui , l’autre télépathe de la famille vint à notre rencontre. Que ne fut-ce pas sa surprise quand il vu dans nos pensées le visage de Mélissandre :

-          Maman, s’exclama-t-il, ne pouvant se retenir

-          Non ne crois pas mais est-ce que le prénom de Mélissandre te dit quelque chose. En prononçant cette phrase je fis défiler la conversation de que j’avais entendu quelque jour plus tôt.

-          Ce n’est pas possible, quand j’étais petit j’entendais souvent ma mère prononcer ce prénom dans son sommeil, quand je lui avais demandé qui s’était, elle m’avait répondu qu’il s’agissait d’une jeune fille que l’on surnommait « la maudite », elle avait même entrainé sa meilleure amie dans la mort à cause de sa malchance. Je n’arrive pas à croire que cette Mélissandre puisse être la sœur de ma mère et encore moins que ma famille est pu agir ainsi. Dans mes souvenirs ils ont toujours été des modèles de droiture et de raison.

-          Je sais que cela peut être dur à croire mais en observant les humain j’ai compris que rares étaient les familles qui n’avaient pas de squelettes dans leur placard.

Je laissais Willy avec son oncle, eux-seuls grâce à leur don commun pourraient le comprendre. Alors que j’étais sur le point d’appeler  mon père pour lui faire part de mes découvertes, je sentis une chaleur venant du collier de Seléné des vagues d’amour, d’extase, d’euphorie et de bien-être m’envahir, je me sentais à ma place comme jamais. Jusqu’à ce jour jamais je n’aurais imaginé que des sentiments aussi forts puissent exister. Je me sentais complète, en harmonie totale puis d’un coup alors que je ne savais depuis combien de temps j’étais resté paralyser par ses effluves de sensation, tout s’arrêta. Je ressentais un grand vide comme s’il me manquait quelque chose. Le collier de mon amie était devenu froid  et sa couleur rubis s’était transformée en diamant. Le vide qui s’était installé dans mon être fut remplacer par un sentiment de force accompagner d’une image : celle de Seléné lorsqu’elle dansait.

Willy et sa famille s’étaient attroupés autour de moi cherchant à comprendre ce que m’arrivait, mais je n’y prêtai pas attention et composais le numéro que je n’avais pas eu le temps de faire.

 

 

3 mars 2011

Chapitre 50 : Une Histoire et des coïncidences.

Chapitre 50 : Une Histoire et des coïncidences.

Arrivés à notre demeure, je vis Mélissandre observer la décoration, une lueur de dégout se lisait dans ses yeux lorsque les modèles étaient Demon ou Evan mais lorsqu’il s’agissait d’une représentation féminine ce n’était pas la même histoire. Je souris en pensant : Seléné 1 Demon 0 ! J’attendais avec impatience d’entendre son histoire pour confirmer mon pressentiment.

Ils s’installèrent confortablement et tous les yeux étaient fixés sur la nouvelle venue. La belle vampiresse soutenu leurs regards quelques instants puis ses yeux se fixèrent dans les miens. Les secondes parurent des heures avant qu’elle ne se décide à prendre la parole :

-          Comme je l’ai déjà dit, mon prénom est Mélissandre et mon nom n’a aucune importance à part de me relier à une famille qui ne me méritait pas. Je suis née à Chicago ; ne me demandez pas en quelle année cela fait longtemps que j’ai perdu la notion du temps.

En écoutant ces seuls mots, je compris que, comme nous, son histoire était loin d’être rose ce qu’il lui donnait cette force toute en restant fragile, ce qui m’attirait tant.

-          Ce dont je me souviens de ma vie d’avant c’est que j’avais une sœur, une sœur jumelle. Pour mes parents c’était la fille parfaite toujours obéissante à suivre les règles. Si physiquement nous étions des parfaites répliques, psychologiquement j’étais son opposé. Mais les choses se compliquèrent lorsqu’il fallut nous marier. Bien sûr on trouva à ma sœur le parfait petit mari dont elle tomba sous le charme à la première minute. Lorsqu’on me présentât mon fiancé, je ne pus que refuser, c’était un homme odieux. Malheureusement pour moi je n’eus gèrent le choix.

Attendant ces mots Demon ne put se retenir croyant retourner la situation à son profit :

-          Nous aurions dut nous rencontrer à cette époque, je t’aurais divertit et tu aurais oublié la vie avec ton mari.

Mélissandre fixa pour la première fois Demon dans les yeux.

-          Je n’aurais certainement pu tromper la personne que j’aimais avec un gigolo, ce que je devais subir avec mon mari me suffisait.

Je ne pu retenir la question :

-          Tu avais un amant ?

-          J’y venais, avant que l’on m’interrompe. Me répondit-elle en revenant vers moi. Non je n’avais d’amant mais une amante, les hommes ne m’ont jamais attiré. Celle que j’aimais était ma meilleure amie depuis toujours. Nous avions tissé une relation secrète depuis que nous avions l’âge de comprendre ce que nous ressentions. Je savais que je n’avais pas le droit mais je n’ai jamais aimé les règles. J’aimais jouer avec le feu peut-être un peu trop. On nous a surpris un jour. Ils nous ont accusé d’avoir souillé leurs familles et plutôt que de subir un tel déshonneur ils nous firent passer pour mortes de maladie et nous abandonnèrent en forêt.  Ma tendre amie mourut sous mes yeux de faim et de froid. Et lorsque je crus que mon heure était aussi venue, je sentis une morsure. Lorsque que je me réveillais, le vampire qui m’avait transformé m’expliqua ce que j’étais devenue  et répartit aussi sec prétextant que j’étais maudite. Depuis je vis isolée, ne m’approchant des villes que pour me nourrir.

-          Reste avec nous ! Nous te prouverons que tu n’es pas maudite et tu verras Demon est quelqu’un de bien. Tu seras libre de repartir quand tu le souhaites.

-          Oui je suis désolé d’avoir été aussi lourd, j’avoue que je n’ai pas l’habitude que l’on me résiste je comprends maintenant pourquoi je n’ai aucune chance contrairement à d’autre, blagua-t-il. Je serai resté à ma place.

-          C’est d’accord si vous me promettez de me laisser vivre comme je l’entends et repartir dès que je le souhaite je resterais. Quelque chose que je ne comprends pas vraiment me pousse à le faire.

Nous lui signifions notre accord puis nous lui racontons tours à tours notre histoire. Puis Nelly et Willy durent repartirent. Les adieux furent encore une fois émouvants ; qui aurais cru que de tels sentiments pouvaient se loger dans un cœur de glace. En les regardant partirent je savais que quelque chose les travaillait depuis leurs rencontres avec ma belle Mélissandre. J’étais curieuse de découvrir de quoi il s’agissait mais j’avais mieux à faire : une vampiresse aux cheveux couleur de feu à conquérir !

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31 mai 2010

Chapitre 49 : Hypnotisée.

Chapitre 49 : Hypnotisée.

La découverte de l’inconnu ne se fit pas attendre, en effet, à quelques mètres de là, se baignait une belle vampiresse dans une petite rivière. Elle était tellement dans son monde qu’elle ne s’aperçu de notre présence qu’une fois que nous fûmes arrivé à ses côtés. A notre vue, elle prit une position défensive ce qui était particulièrement incongru étant nue et face à un clan constituer de sept membres. Elle ne parue pourtant pas apeurée. Demon, égal à lui-même, l’interpella de son air séducteur :

-          - Bonjour, belle inconnue. Désolé de vous déranger mais vous êtes sur notre territoire de chasse. Mais peut être vous laisseriez nous prendre un bain en votre compagnie histoire de faire connaissance.

-         - Je vous remercie mais cela ne m’intéresse pas le moins du monde, répondit-elle à Demon sans pourtant lui prêter attention. Si je suis sur votre territoire je suis désolée je ne le savais pas, je vais partir.

C’était la première fois que je voyais quelqu’un résister à Demon. C’était le monde à l’envers car je n’arrivais pas détacher mon regard d’elle j’étais comme hypnotisée. Je ne voyais qu’elle. Elle était sublime encore plus qu’Ariane, Aurore ou même Nelly et ce n’était pas peu dire. Elle dégageait quelque chose de sauvage tout en restant fragile : ses cheveux bouclés cuivré et incendiaire retombaient sur ses frêles épaules et son corps était d’une grâce inimaginable. Je ne voulais pas qu’elle parte.

-         - Non, protestais-je, restes. Je me présente je m’appelle Seléné et voici mon clan : Demon, Aurore, Evan, Ariane, Willy et Nelly. Les désignant tour à tour. Et toi ? Nous serions heureux de faire ta connaissance.

Je n’avais pas utilisé mon don. Je voulais qu’elle décide de rester par elle-même.

-          - Mon nom est Mélissandre, répondit-elle simplement.

-          - Enchantée. Nous possédons un manoir pas très loin d’ici, nous serions mieux pour discuter. Qu’en penses-tu ?

Elle eu l’air d’hésiter un instant mais je sentais que la curiosité était plus forte que la peur d’être seule en notre compagnie. De toute façon, ici ou ailleurs elle resterait en situation d’infériorité.

-          - C’est d’accord je vous accompagne, me répondit-elle.

Depuis le début de la rencontre elle n’avait pas prêté attention aux autres membres du clan. Je sentais que Demon était vexé car c’était une première pour lui. Dans ses yeux brillaient une lueur de défit. Il la voulait notre Casanova mais à ce jeux il allait avoir de la concurrence. Mélissandre pensais-je, bientôt cela serai toi et moi ou je ne m’appelle plus Seléné.

Mélissandre récupéra ses affaires et se vêtit. Nous partîmes en direction du manoir ; j’étais curieuse d’entendre son histoire.


28 avril 2010

Chapitre 48 : Réfléchissez à cela...

Chapitre 48 : Réfléchissez à cela...

C’était bel et bien Nelly et Willy qui se tenaient au pas de la porte. Tout les deux souriants et plein de vie.

-          Bonjour Seléné j’espère que l’on ne vous dérange pas, demanda poliment Willy qui fut le premier à prendre la parole.

-          Bonjour, me salua également notre ange, en me prenant dans ses bras, ému de nos retrouvailles.

-          Bien sûr que non, Nelly et toi vous serez toujours les bienvenus chez nous, vous le savez bien. Et puis les autres sont impatients de vous voir, cela sera une magnifique surprise pour eux quand ils reviendront de la chasse. Tu manques beaucoup à ton père Nelly. Entrez, par contre je tiens à vous prévenir que la décoration nous ressemble et le talent d’Aurore peut surprendre voir choquer mais je vous laisse juger par vous-même. J’attendais avec appréhension leurs réactions surtout celle de notre rayon de soleil après tout Demon était celui qui était le plus représenté cela risquait d’être un peu dérangeant pour elle de voir son père représenté comme ça mais heureusement elle nous connaissait elle savait qu’avec nous il fallait s’attendre a tout enfin je l’espérai.

-          « Le manoir de tous les vices », murmura Nelly une fois entrée observant avec détail chaque œuvre présente dans la pièce en l’observant je voyais bien qu’elle ne savait pas trop quoi en penser à la fois gênée d’entrer ainsi dans notre intimité, émerveillée par le talent d’Aurore et amusée car elle devait repenser à notre conversation au mariage. Par contre, je voyais que Willy restait beaucoup plus troublé et mal à l’aise face à ce qui s’étalait devant ses yeux. Je du ravaler mon rire devant son incompréhension.

-          Oui, « le manoir de tous les vices » confirmais-je toujours amusée. Prenez place, leur dis-je en leur désignant le canapé. Ils ne devraient plus tarder ils ne sont pas partit chasser très loin.

-          Nous ne voulons pas les détails, grogna Willy blottit contre Nelly.

-          Ne t’inquiètes pas je n’en avais l’intention souriais-je. Je n’ai pas l’intention de provoqer une nouvelle guerre mais nous avons bien le droit de nous nourrir non ?

-          Je suppose.

-          Bien que je n’avais pas l’intention d’entrer dans ces détails aujourd’hui et que tu entends ce qui se passe dans ma tête imagine une chose : imagine que tous les vampires utilise votre mode d’alimentation que se passerait-il ?

Ce fut Nelly qui prit la parole à mon plus grand étonnement car je savais qu’elle nous acceptait.

-          Ils y auraient moins d’humains morts, dit-elle doucement. Je lui souris.

-          OUI c’est exact et je comprends que cela te touche car tu l’es à moitié mais si tous les vampires se nourrissaient d’animaux comme vous, beaucoup d’espèces auraient disparu et les humains se débrouillent déjà suffisamment bien pour ça sans nous. De plus, la terre serait surpeuplée. Avec le temps, j’ai compris que si nous étions là c’est que nous avions un rôle, chaque espèce à son prédateur nous sommes celui des humains comme les loups sont les nôtres. Je ne dis pas que c’est bien ou mal car grâce à vous j’ai compris que nous avons tous le choix si nous le faisons en connaissance de cause. Mais ne nous juge pas pour ça Willy, n’imite pas ta famille nous avons le même droit de se nourrir que n’importe quel être « vivant » sur terre. OUI j’aime chasser et me nourrir et je le revendique comme les membres de mon clan cela n’est pas pour autant que nous sommes des monstres. Réfléchissez à cela…

-          Je ne vous ais jamais considéré comme des monstres vous êtes ma famille, me dis Nelly en me fixant droit dans les yeux, le sourire confiant et m’enlace avant de rejoindre son mari.

-          Merci, me dit simplement Willy, de m’avoir donné à réfléchir et d’autres arguments que ceux de la dernière fois j’avoue que même si je n’acceptais que cette part de vous pour faire plaisir à Nelly je ne vous considère pas comme des monstres j’y réfléchirais.

-          Le sujet est donc clos et pour longtemps je l’espère.

-          Oui dit Nelly. Sinon d’après ce que j’ai pu comprendre la vampire qui vous accompagnait à notre mariage est toujours avec vous puisque, si j’ai bien compris, c’est la décoratrice du manoir. J’aimerais en savoir plus sur elle.

-          Ce n’est pas à moi de vous raconter son histoire mais vous pourrez lui demander par vous-même car je sens qu’ils arrivent.

Quelques secondes plus tard, Nelly se jetait dans les bras de notre Angelo sous les regards émus de tous le clan et de Willy. C’est deux là étaient vraiment fait pour s’entendre. Puis nous purent commencer à parler des événements qui s’étaient déroulé récemment dans nos vies. Je pu lire la surprise dans leurs yeux quand Evan dévoila notre lien de parenté puis le scepticisme de Nelly face à l’histoire d’Aurore et Demon. Mais j’étais convaincu qu’elle finirait par l’accepter pour le bonheur de son père. Les deux couples de jeunes mariés compareraient leur lune de miel et se promirent de visiter les endroits que les autres avaient évoqués. Les récits se finirent tard dans la nuit et furent interrompu par les bâillements de notre princesse.

Le lendemain nous accompagnons les deux amoureux pour qu’ils découvrent la beauté du pays de Demon. Quand soudain, notre odora me signala une odeur bien familière : il y avait un autre vampire dans les environs et nous devions le trouver car il était sur nos terre.

22 novembre 2009

Chapitre 47 : Le temps passe mais personne ne change.

Chapitre 47 : Le temps passe mais personne ne change.

Nous devions nous nourrir et vite. Nos petits apartés sensuels n’étaient pas sans conséquences. Pour cela nous nous séparions pour éviter de nous faire repérer. Ariane et Evan partirent en forêt, j’avoue que leur condition de vampire végétarien et de vampire omnivore leur facilitait la tache. Ils n’avaient pas à aller très loin pour trouver de quoi se rassasier. Quand à Demon, Aurore et moi, en bon carnivores nous devions parcourir de nombreux kilomètres pour ne pas attirer les soupçons.

Mon choix c’était arrêté sur un petit restaurant, pardon je veux dire un petit hôpital, ce qui vous me l’accordez est ce qui pour nous se rapproche le plus de la restauration rapide chez les humains. Du sang frais en veux-tu en voila, il suffit juste de se pencher pour trouver quelques mourants. Parce que chasser cela devient parfois lassant mais il faut bien se nourrir alors… Demon et Aurore étaient partis je ne sais où. Apparemment Aurore connaissait un endroit parfait pour qu’ils puissent satisfaire leur appétit et je leur faisais confiance. 

Je courais afin d’arriver à destination au plus vite et pouvoir enfin me rassasier de l’essence de vie. J’aimais cette sensation de vitesse, le vent qui fouettait mon corps, des images de mon passé envahissant mes globes oculaires : les joies et les horreurs de ce monde. Oui j’avais beaucoup vécu et j’avais compris beaucoup de choses lors de mon existence. J’espérai pouvoir partager mon expérience avec Nelly et pourquoi pas avec un être qui saurait combler le vide de mon cœur.

Il ne fallait pas que j’y pense. Je ne voulais pas ressentir le trou vide dans mon cœur. Je devais me concentrer sur mon but, ma soif. Celle-ci ne fut pas dure à combler étant donné le nombre de repas possible présent dans ces lieux. Je jetais mon dévolue sur une jeune femme victime d’un accident de la route. Quand j’y pense, elle aurait presque pu me remercier. Je lui avais évité un mort longue et douloureuse.

Je ne fus pas surprise quand, en rentrant, je découvris le manoir vide. Les autres n’étaient pas encore rentrés. Ils avaient du avoir un « contre temps en chemin ».

Les jours au manoir filèrent vite entre jeux sensuels ou non, les récits de nos anecdotes personnelles, nos chasses et la passion d’Aurore pour l’art. Oui la compagne de Demon est une artiste et elle prenait un certain plaisir à se servir de nous comme model dans des œuvres assez sensuelles, ce qui ne nous dérangeait absolument pas vu le talent de la jeune demoiselle. Je me souviens d’un jour où Ariane et moi avions du rester des heures sensuellement enlacées, sans bouger, ne portant que des robes fort transparentes, alors qu’Evan devait maintenir sa concentration pour qu’il pleuve au dessus de nos têtes. Ceci n’était pas facile pour lui connaissant son excitation. On aurait pus croire que les capacités vampirique d’Aurore l’auraient aidé à accélérer le mouvement mais non, elle voulait parvenir à une quasi perfection. Parfois elle nous photographiait pendant nos ébats et le résultat était toujours magnifique et jamais vulgaire. Elle avait l’art de ne photographier que les parties de nos corps jouant l’une avec l’autre, les mettant en valeur par tel ou tel effet de lumières.

Désormais chaque pièce de notre demeure contenait une ou plusieurs œuvres de notre fabuleuse artiste. Que ce soit des peintures, des dessins, des photographies ou des sculptures, on voyait l’amour que celle-ci portait à mon Angelot car il le model préféré d’Aurore. Pourtant, nous savions tous que celui-ci n’avait pas renoncé à ces activités de Casanova à chaque rencontre vampirique.

Je sortis de mes pensées lorsque j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Quand je reconnu l’odeur de nos invités, je courus leur ouvrir.

11 octobre 2009

Chapitre 46: Le manoir de tous les vices. 2ème partie

Chapitre 46 : Le Manoir de tous les vices.

Deuxième partie : Vice un jour vis toujours.

Attention ce chapitre contient des scènes explicites qui peuvent choquer

POV : Seléné.

Demon, Aurore, Evan et Ariane s’étaient évaporés, me laissant seule. J’en profitais pour redécouvrir le manoir en paix. Mon esprit vagabondait dans mes souvenirs. Nos cris et nos gémissements résonnaient toujours, encore encrés dans la mémoire des ces murs. Les lieux restaient inchangés et pourtant, nous avions découvert ce manoir à trois. Depuis, notre clan s’était agrandis. Evan et Demon  avaient trouvé leurs âmes sœurs et puis il y avait aussi notre Nelly, ma fille de cœur. Oui les choses avaient bien changé. Mais il y a une chose qui ne changerait jamais, c’est notre amour pour le sexe et de cela, ce manoir en était le symbole.

Je vagabondais me laissant aller ou mes jambes me portaient, quand j’entendis de longs râles. Ceux-ci étaient bien réels. Sans réfléchir je me laissais guider vers cette douce musique. Celle-ci me conduisit tout droit vers la chambre de Demon. Je ne pu détacher mes yeux du spectacle qui s’y déroulait. J’aurais du partir, leur laisser leur intimité, mais je ne pouvais pas. Je n’y arrivais pas. J’étais comme fascinée. Une douce chaleur envahissait mon bas ventre. Heureusement je savais que Demon et Aurore ne pourrais m’en vouloir.

Soudain je sentis la main d’Ariane caresser mon sein droit. Elle et Evan avait du comme moi se laisser guidé par la douce musique des ébats d’Aurore et Demon. Eux aussi semblaient excités par la scène qui se déroulait devant nos yeux. A cette pensée mon bas ventre s’enflammait encore plus. Je me retournais faisant face à la belle Ariane pour embrasser ses douces lèvres rosées. C’est après avoir atteint leur délivrance que nos deux tourtereaux s’aperçurent de notre présence. Ils ne mirent que quelque secondes à nous rejoindre. Nous rejoignîmes mon espace personnel, une des pièces les plus grandes du manoir car je l’utilisais souvent pour danser.

J’étais d’humeur joueuse. Je déshabillais mon frère et nous attachèrent les hommes sur deux chaises. Ariane me déshabillait sensuellement tandis que je caressais Aurore. Puis Aurore arracha la robe d’Ariane tandis que celle-ci me léchait la poitrine. Tout cela sous les yeux effarés de nos hommes. Je m’emparais des lambeaux de la robe d’Ariane pour bander les yeux d’Evan et Demon.  Ceux-ci voulurent protester mais Ariane les intima de se taire sinon nous les laisserions seuls tous les deux, ce qui aurait été fort dommage en vu de leurs virilités érigées. Je sentais mon désir suinter entre mes cuisses tandis que j’observais Aurore et Ariane s’embrasser fougueusement. Puis Ariane alla s’installer sur les genoux de Demon. Je savais qu’elle avait vu clair dans mon jeu et prenait beaucoup de plaisir à y participer. Elle m’entraina tout en m’embrassent à sa suite tandis que aurore s’installa sur les genoux de mon frère. Nous nous caressions et nous embrassions, tout en caressant et embrassant les deux hommes échangeant sens cesse nos places. Je ne m’étais rarement sentie aussi bien. Tout mon corps était enflammé et vibrait sous les caresses des mes amis. Demon et Evan râlèrent de frustration et de plaisir forçant pour défaire leur liens. J’échangeais un regard avec Aurore et Ariane et leurs yeux noirs de désir me confirmaient qu’il était temps de libérer les lions.

Tout se passa très vite. Demon se leva et Ariane descendit le long de son corps pour gouter sa longue virilité dressée. Je m’allongeais sous elle pour accéder à son centre et la goutait.  Je n’avais jamais bu quelque chose de si bon : la liqueur du paradis. C’est alors que je sentis des douces caresses sur mon centre brulant, qui fut vite suivies par la douce langue d’Aurore me soulevant les jambes tandis que la voyais se tendre sous les vas et viens de mon frère. Nous ne formions plus qu’un seul être. Un être vibrant de plaisir et de désir. La chaleur envahissait mon corps par vague. J’étais comblée par tous nos gémissements  et nos caresses simultanées. Tout s’enclencha tel un domino. Demon fut le premier à atteindre son apothéose sous les coups de langue de mon amie qui se libéra à son tour pour ma plus grande satisfaction. La sentir se déverser à moi alors qu’Aurore mordu mon paquet de nerfs provoquant ma satisfaction totale.  Quelques secondes plus tard, Evan et elle nous rejoignirent dans des cris des plus sauvages.

Cette expérience m’avait changé à tout jamais. Qui aurait pu croire que l’on pouvait avoir autant de plaisir avec des femmes ?...

10 octobre 2009

Chapitre 46: Le manoire de tous les vices. 1ère Partie

Chapitre 46 : Le Manoir de tous les vices.

Première partie : Avouer

Attention ce chapitre contient des scènes explicites qui peuvent choquer

POV : Demon

Nous étions enfin arrivés. L’Italie ma terre natale. Jamais je ne pourrais oublier toutes les merveilles qui ont bercé mon enfance. Mais devant moi se dressait la merveille des merveilles, notre manoir. Celui-ci n’avait pas changé. Il restait planté là, au cœur des bois. C’était comme si nous ne l’avions jamais quitté, rien n’avait changé.

Quand nous nous sommes décidés à entrer, l’odeur des vieilles pierres et des meubles cirés m’envahit. Les souvenirs m’envahirent. Je vis Seléné me faire un clin d’œil.

Je me décidais à faire visiter notre immense demeure à Aurore. Depuis notre chasse avant le mariage nous avions rarement eu l’occasion de discuter et je sentais que son attraction devenait de plus en plus forte. Je la voulais corps et âme. Malgré mon passé, j’avais décidé de suivre les conseils de Seléné et de me laisser aller à ces nouveaux sentiments. Maintenant il restait à savoir si elle m’accepterait tel que je suis : moi l’homme à femmes.

La visite se déroula en silence. Je la voyais m’observer du coin de l’œil tandis que je faisais de même. Finalement nous arrivâmes dans la dernière pièce : ma chambre. Mon espace lui non plus n’avais pas changé. Le jaune des murs était devenu un peu fade, mais sinon tout restait intact. Les dessins de ma mère et mes jouets d’enfants, seuls souvenirs de ma vie humaine étaient resté là. Je les avais laissé là pour pouvoir avancer. Aurore avais plongé son regard dans le mien je me décidais à lui parler :

-          Ici c’est ma pièce. Elle représente une partie de moi : mon humanité perdue. L’humain en moi a aimé ton ancêtre Eléonore. Mais je ne suis plus cet homme. Je suis Demon le vampire dont la personnalité a été forgée par les siècles qui ont passé. Je t’aime toi et je ne te cache pas que cela me fait peur. Mais je ne veux plus vivre dans le passé. Alors la question est veux-tu de moi ? Moi, Demon le Casanova vampire. Acceptes-tu de partager mon corps en échange de quoi je te donne mon cœur et mon âme.

-          Oui je te veux. Toi, le Demon tel que tu es. Si tu changeais, cela ne serait plus toi. Mais j’ai tellement peur de ne pas trouver ma place ici. Tu as Seléné, tu as ta fille. J’ai également peur de souiller la mémoire d’Eléonore en étant avec toi mais tu m’as rassuré. Je t’aime Demon. Me répondit-elle. Je pouvais sentir son émotion.

-          J’aime Seléné, j’aime ma fille et j’aime également Evan et Ariane. Ils sont ma famille. Mais toi tu es mon amour, tu es ma vie et Je t’aime.

A ces mots je ne pu me retenir. Je l’embrassais sauvagement et avec passion. Jamais je n’avais ressentit une telle urgence. Les courbes de ma belle étaient tellement harmonieuses que je les dévorais des yeux. Mes mains parcouraient son corps de déesse. Ses mains me déshabillèrent lentement tandis que fit tomber sa robe sur le sol. Elle ne portait désormais plus qu’un simple boxer en satin violet contrastant avec la blancheur de sa peau. Je ne pu me retenir, embrassant chaque partie de sa peau nue. Chaque contact m’enflammait. Mes doigts la débarrassaient du dernier morceau de tissu qui la recouvrait, frôlant son intimité brulante tandis qu’elle finit de me déshabiller. Nos regards se croisèrent. Le feu qui nous habitait était égal à notre passion. Nous ne pouvions attendre. Je m’introduisis en elle, sa chaleur m’enveloppant. Je me sentais bien, comme je la voulais ! Mon regard rougeoyant plongea dans celui d’Aurore. Mes vas et viens se firent plus durs sous les gémissements de mon ensorceleuse. Les cris de ma belle m’appelaient et me réclamaient quand dans un souffle nos muscles se contractaient nous emmenant à la délivrance suprême. La soif envahit mon corps mais je réussis à reprendre constance en serrant mon Aurore dans mes bras, l’embrassant dans un baiser passionné. Ce fut quand je le relâchais mon étreinte que je remarquais Seléné, Ariane et Evan au seuil de la porte.

Ariane et Seléné s’embrassait langoureusement tandis qu’Evan caressait sa femme et sa sœur. Dans un souffle nous les rejoignirent.

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