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Désir de vampire
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8 mars 2011

Chapitre 52 : Entière à Jamais.

Chapitre 52 : Entière à Jamais.

POV : Selené

Depuis le départ de Nelly et Willy je m’étais rapproché de ma belle Mélissandre. Nous passions de plus en plus de temps ensemble, chassant, nous promenant ou tout simplement en nous observant. Quand j’étais en sa compagnie, je me sentais tout simplement bien, totalement moi-même j’agissais spontanément sans vraiment réfléchir un peu comme avec Evan en encore mieux. Je sentais que mon attirance était réciproque mais quelque chose la boquait, qu’elle n’osait pas trop s’approcher vraiment de moi c’est pourquoi je n’avais pas encore fait le premier pas. Intérieurement, pourtant, l’envie ne manquait pas. J’avais envie de la prendre dans mes bras de la faire mienne pour toujours et de la protéger. Moi, Selené, j’en devenais presque romantique.

Un jour où nous étions toutes les deux dans les bois près de l’endroit où nous nous étions rencontrées. Je me rendis compte que me retenir devenait de plus en plus difficile alors qu’elle était là, si belle, devant moi si proche et pourtant si  inaccessible. Je ne pus me tenir je tendis ma main pour prendre la sienne. Une chaleur m’envahie à l’ endroit où ma peau touchait la sienne.

-          Non ne me touche pas rappel toi ce que j’ai dit j’ai dit : je suis maudite je brûle ce que je touche. Me dit-elle.

-          Je n’ai pas peur, tu n’es pas maudite, je me sens bien avec toi comme je ne l’ai jamais été le feu et moi sommes de vieux ami. Laisse-moi t’aimer.

-          Si je ne peux te laisser faire !

Maintenant que je l’avais touché, que j’avais sentis sa peau contre la mienne je ne pouvais pas m’arrêter  malgré la chaleur qui m’envahissait je me sentais bien ce n’était pas douloureux comme les autres fois au contraire. Je sentais son envie de continuer de ne faire qu’un avec moi et toute la force qu’il lui fallait pour me repousser. Je pris alors une décision une terrible décision. J’étais égoïste je le savais mais je ne pouvais faire autrement. Je me servis de mon don :

-          Laisse-toi aller ne résiste plus, Je le veux autant que toi, n’ai pas peur.

Elle n’eut plus le choix et elle se détendit en cédant à ses instincts ; ses lèvres se ruèrent sur les miennes. J’étais au paradis. L’amour que nous partagions m’envahie par vagues, jamais je n’avais ressenti quelque chose d’aussi intense. Mon cœur, figé dans ma poitrine, se remit à battre. Je sentais les flammes lécher mon corps mais je m’en fichais. Mes yeux étaient rivés sur celui de ma belle. Son sourire était éclatant et je voulais la dévorer toute entière. Ne faire qu’un avec cette lionne, aux cheveux flamboyants, qui m’apportait tant de bonheur. Son seul touché m’électrisait,  j’en devenais euphorique et nos vêtements avait déjà disparus. J’avais allongé mon amour dans l’herbe fraîche, et nous ne faisions plus qu’un. J’agissais par instinct connaissant les moindres détails de ce corps de marbre comme s’il s’agissait du mien alors que je ne l’avais touché que quelques minutes plus tôt. Nous caresses devenant de plus en plus entreprenantes, nos souffle se mélangeaient ainsi que nos râles et je ne pouvais plus distinguer ma voix de la sienne, ses murmures des miens tout n’était qu’extase et amour. J’étais enfin chez moi. Le feu me parcourait toujours mais je l’accueillais avec joie il faisait partit de notre être. Mon cœur battait de plus en plus vite, enfin, je n’étais plus sûre que c’était le mien, ma seule certitude c’est que je voulais goûter ma douce, lui donner encore et encore. Ma moitié eu la même idée et c’est ensemble que nous partîmes pour le paradis. Elle avait le gout de la luxure à l’état pur, moi qui pensait que rien ne pouvait surpasser le gout du sang je m’étais largement tromper. Nos corps se contractèrent l’un contre l’autre l’orque nous atteignirent le Nirvana l’intensité de flamme était à son apothéose je savais que c’était ma fin mais je n’avais pas peur jamais je ne m’étais sentit aussi bien. Quand tout a coup je me rendit compte que je n’étais pas la seule à bruler j’avais entrainer mon amour dans sa chute. Je pris peur qu’elle quelle m’en veuille mais lorsque que nos regard se rencontrèrent je sus qu’ils n’en étaient rien.  Elle me murmura  dans son dernier souffle :

-          Merci, je t’aime.

-          Moi aussi, à jamais.

Puis tout devint noir et je me sentais comme flotter  au sol, un tas de cendre nous avais remplacé. Je ne pus dire comment mais je savais qu’Evan était là. Alors grâce à un ultime effort  sortit de nulle part pour eux pour ma famille, je projetais ma force. Il s’en sortirait sans moi je n’étais pas inquiète.

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